Les 21, 22 & 23 juin, vous êtes invités à notre exposition de fin d’année

L’Impact Positif des Études Artistiques sur la Vie Étudiante

Le Salon SIEP Liège 2024 s’est conclu sur des rencontres et des souvenirs mémorables. En cet événement, enseignants, personnel administratif et étudiants se sont rassemblés pour mettre en lumière les spécificités de l’enseignement artistique et présenter les formations offertes par notre établissement. Cette occasion a également permis aux futurs étudiants de découvrir les multiples avantages des études artistiques dans leur parcours académique et personnel.

Les programmes artistiques proposés par l’ESA Saint-Luc Liège couvrent une variété de disciplines telles que la bande dessinée, l’illustration, la peinture, la photographie, la publicité, la sculpture, l’architecture d’intérieur, la communication visuelle et graphique, ainsi que la conservation et la restauration des œuvres d’art. Au-delà de l’acquisition de compétences techniques, ces programmes visent à cultiver la créativité, l’expression personnelle et la pensée critique chez les étudiants, les préparant ainsi aux défis professionnels et personnels de la vie.

Créativité, expérimentation, prise de risques et pensée novatrice : les études artistiques offrent aux étudiants un espace pour développer leur propre voix artistique, les incitant à repousser les limites de leur imagination. L’ESA Saint-Luc Liège offre un environnement propice à l’expression créative, où les étudiants peuvent explorer sans craindre le jugement, favorisant ainsi leur confiance en eux et leur estime de soi. 

Les études artistiques ne se limitent pas à l’acquisition de compétences techniques ; elles sont une source d’inspiration, de croissance personnelle et de transformation. En cultivant la créativité chez les étudiants, elles ouvrent la voie à un avenir où l’imagination et l’innovation sont les moteurs du progrès.

Rejoignez notre communauté où la créativité est célébrée et cultivée. Pour rester informés sur les opportunités passionnantes offertes par l’ESA Saint-Luc Liège, veuillez fournir votre adresse e-mail via le formulaire en ligne :

https://intranet.saint-luc.be/fr/myinscription/subscription/add

Une semaine au Phare : immersion dans une institution d’aide à la jeunesse

Ce module pédagogique inspiré du concept « action recherche design » (A. Findeli) consistait en une semaine de réflexion et création avec les usagers (les résident.es, les éducateur.ices, l’administration, le personnel technique…) de la maison d’accueil Le Phare à Liège, accompagnés d’étudiant.e.s et d’enseignant.e.s de l’ENSAD de Nancy, de l’ESA Saint-Luc Liège et de l’Université de Liège. Le projet, pensé en interaction avec le groupe, consiste en un réaménagement des espaces collectifs du Phare. Il est marqué par la volonté à s’intégrer dans cet espace, ce système afin d’en comprendre ses usages et ses usagers. L’ambition de ce moment d’immersion vise à expérimenter un dispositif de travail collaboratif et la coopération entre les disciplines, tel que nous souhaiterions en développer dans le cadre d’une formation dédiée à la recherche-création interdisciplinaire, en cours de conception. Dans un second temps, un partage réflexif s’incarnera lors de journées d’étude à l’automne 2024 qui offriront à un panel d’acteur.ice.s élargi, un moment de discussion sur les enjeux, les opportunités et les défis d’une approche collective de recherche action/création interdisciplinaire. 

Le SRG Le Phare est une maison d’accueil pour enfants et adolescent.e.s, agréée par l’Administration Générale de l’Aide à la Jeunesse (Belgique). Le Phare s’inscrit dans un réseau large d’actions sociales et de solidarité, à destination de jeunes qui subissent différentes formes d’exclusions sociales. Le service accueille aujourd’hui une vingtaine de jeunes, filles et garçons, de 7 à 17 ans. Ils sont accompagnés par une équipe éducative présente en continu, 7 jours sur 7, 24h/24, toute l’année. Le Phare est pour la plupart des résident.e.s le lieu de vie principal. Si des retours en famille sont accessibles à certains jeunes pour les weekends ou les congés scolaires, la majorité du groupe reste présente en continu. D’où le besoin de favoriser le vivre ensemble au sein d’un bâtiment peu adapté (vieille maison de maître, d’abord transformée en bureaux d’administration puis sommairement adaptée à l’hébergement d’enfants). 

Notre objectif : améliorer le bien-être. Et ce en travaillant à des propositions avec les jeunes et les travailleur.euse.s du Phare. Qu’il s’agisse des espaces communs ou privés, il s’agissait de prendre en compte de nombreux éléments dont les questions d’intimité, des réflexions sur les usages et l’organisation de la vie en groupe, l’harmonisation du mobilier, la communication et l’affichage, la sobriété énergétique, la révision de l’éclairage, etc.

Les deux premiers jours, nous avons proposé divers ateliers participatifs auxquels les jeunes qui le souhaitaient ont pu prendre part. Ceux-ci nous ont permis de faire connaissance avec eux, avoir des moments plus intimes avec chacun.e, en savoir plus sur leurs envies et leurs besoins. Mais surtout, ces ateliers, ont été un point de départ pour toutes les propositions d’aménagement du Phare. C’était une phase importante d’observation et de récolte d’informations.  

Ensuite, nous avons travaillé intensément le reste de la semaine, installés dans la salle polyvalente du Phare, recevant la visite des enfants. Certain.e.s ont pu être associés étroitement à la suite du travail, que ce soit pour tester le montage d’un meuble-prototype ou pour créer de la typographie. Les repas étaient pris avec les enfants, pour continuer à nous imprégner de leur quotidien et pour poursuivre les échanges avec eux et avec les membres du personnel. Nous avons été très touchés par l’accueil de chacun et chacune. 

Au terme de la semaine, nous avons produit un Journal qui relate la rencontre, les ateliers, les recherches, les solutions et les pistes d’aménagement proposées. Le tout a été présenté lors d’une soirée de restitution à l’école, comprenant une petite exposition de la matière produite dans les ateliers. C’était bien agréable de pouvoir accueillir à notre tour ces jeunes visiteur.euse.s dans notre lieu d’étude et de travail. Après ces 5 journées d’immersion, les adieux ont été difficiles ! Mais on a promis de se revoir bientôt…  

Participants : 

5 étudiant.e.s de l’ESA : Architecture d’intérieur, Design industriel, Communication visuelle et graphique et Photographie, avec leurs enseignants : Pinky Pintus, Hilke Vervaeke, Marie Sion et Olivier Cornil, Célia Charbaut, Noémie Drouguet 

4 étudiant.e.s de l’ENSAD Nancy en Design des milieux, avec leurs enseignants Colin Ponthot et Jehanne Dautrey. 

1 étudiante en Master 2 en Sociologie de l’Université de Liège 

Justine Contor, post-doctorante en Architecture à l’Université de Liège 

Et bien sûr les 20 enfants et adolescent.e.s et l’équipe éducative du Phare 

Le projet a obtenu le soutien de Wallonie Entreprendre

Dernier vernissage pour l’expo itinérante “Unfree Labor”, au Bois du Cazier.

Le vendredi dernier, le Bois du Cazier à Charleroi a accueilli l’exposition fascinante “Unfree Labor”, résultat d’une collaboration dynamique entre diverses institutions académiques (Université de Liège, Université du Luxembourg, ESA Saint-Luc Liège) et musées, dont le DASA (Dortmund), la Fonderie (Bruxelles), le MUAR (Luxembourg) et bien sûr le Bois du Cazier. Le vernissage a offert une expérience novatrice sur le travail non-libre, combinant scénographie immersive, témoignages poignants et réflexions percutantes.

Dès la conceptualisation de l’exposition, “Unfree Labor” s’est distinguée par son caractère participatif, impliquant des étudiants en muséologie de l’Université de Liège, des étudiants en Histoire publique, le Media Lab de l’Université du Luxembourg, et des étudiants de l’École supérieure des arts Saint-Luc à Liège, créant ainsi une synergie stimulante entre différentes perspectives académiques.

Suite aux premières réunions entre partenaires, un workshop intensif de deux jours, organisé par les étudiants en design social (CVG) s’est tenu à Saint-Luc. Ce fut le véritable point de départ de l’exposition, conçue et produite en deux ans. Plus de cinquante étudiants, accompagnés par les équipes des musées, ont élaboré les intentions et la structure de l’exposition. L’objectif était clair : dépasser les limites historiques pour examiner des situations contemporaines et sensibiliser en particulier les jeunes adultes entrant dans le monde professionnel.

Les concepts clefs :

Le résultat de ces réflexions a donné naissance à des concepts clés qui ont guidé la création de l’exposition. Parmi ceux-ci, on retrouve le “flou”, l’idée de “rendre visible l’invisible”, la notion d'”identité qui s’efface”, et l’importance de l'”effort” pour susciter une prise de conscience. Ces concepts ont été habilement traduits en installations et supports de médiation. Dès l’entrée, les visiteurs sont confrontés à des cubes arborant des extraits de grandes déclarations sur le travail équitable. Cependant, le portrait “haché” sur l’affiche suggère une réalité plus complexe, illustrant comment le travail peut influencer notre identité. Un chantier de construction symbolique met en lumière les situations d’exploitation, soulignant que les solutions sont toujours en construction.

Une exploration intime :

L’exposition se déploie ensuite comme un labyrinthe, invitant les visiteurs à fournir un effort pour découvrir des témoignages concrets. Des “vitrines” présentent des éléments de la vie quotidienne derrière un fin grillage, rappelant que certaines réalités méritent un regard plus attentif. Le parcours explore des thèmes tels que le travail des livreurs à vélo, les conditions des travailleurs des abattoirs, le travail du sexe, les jeunes au pair, et le travail des détenus en prison. Enfin, la sortie de l’exposition confronte les visiteurs à l’ambiguïté du système dans lequel nous vivons. Sonner aux portes et se confronter à nos propres contradictions suscite une réflexion profonde sur notre contribution inconsciente à ces situations. Cet effort, bien que parfois inconfortable, est un appel à l’attention et à la nécessité de ne plus fermer les yeux sur ces réalités peu visibles.

Les installations et l’identité graphique de l’exposition, conçues par des étudiants de scénographie et de communication visuelle et graphique, témoignent d’une collaboration fructueuse. Les musées partenaires ont également été chaleureusement remerciés pour leur confiance dans ce projet audacieux.

L’exposition “Unfree Labor” promet une expérience immersive et éducative, incitant les visiteurs à repenser leur relation au travail et à contribuer à la lutte contre les situations de travail inéquitables. Elle sera ouverte au public au Bois du Cazier jusqu’au 14/04/24.

Ne manquez pas cette opportunité unique de plonger dans les nuances du monde du travail contemporain !

Workshop avec Marion Bataille : exploration de la Typographie Modulaire en CVG

Du 6 au 8 décembre 2023, l’École Supérieure des Arts de Saint-Luc Liège a vibré au rythme du workshop animé par Marion Bataille, graphiste et illustratrice française renommée. Plongeant dans le monde fascinant de la “typographie modulaire”, les étudiants de la section Communication Visuelle et Graphique ont été invités à créer des abécédaires uniques à partir de systèmes modulaires, explorant divers matériaux tels que le papier, le carton, le fil, le scalpel et la colle…


Le thème central du workshop, “Créations d’abécédaires à partir de systèmes modulaires”, a guidé les étudiants tout au long de l’événement. Sous la direction de Marion Bataille, les participants ont exploré les possibilités infinies de la typographie modulaire, donnant vie à des abécédaires originaux et expressifs.

Le workshop s’est clôturé par la présentation des résultats à l’ancienne galerie (bâtiment CVG), lors d’un vernissage où les créations des étudiants sont actuellement exposées. Cette exposition demeure ouverte et visible jusqu’à ce vendredi, offrant aux visiteurs une chance exceptionnelle de plonger dans l’univers artistique façonné par l’influence de Marion Bataille. Les clichés capturés lors de cet événement, joints à cet article, témoignent de la richesse des productions créées au cours de ces trois jours intensifs de travail artistique.

Merci à Marion Bataille pour sa présence. Ce workshop marquera sans nul doute les étudiants de l’ESA Saint-Luc Liège qui y ont pris part, faisant de cet événement une expérience formatrice propice à repousser les limites de leur imagination et à perfectionner leurs compétences artistiques sous la houlette d’une figure emblématique de la typographie.

Plongée dans l’Obscurité : Retour sur l’Exposition “Mon Ombre” d’Adrien Dessy


L’ESA Saint-Luc Liège a accueilli l’exposition “Mon Ombre” d’Adrien Dessy, étudiant en troisième année à la CVG Saint-Luc Liège. Les 12 et 13 décembre derniers, le B9 s’est transformé en un lieu mystérieux, plongeant les visiteurs dans les méandres de la nyctophobie, la peur du noir. Cette exposition a offert une expérience immersive unique, permettant aux visiteurs de confronter leurs propres peurs. L’atmosphère singulière et la qualité artistique exceptionnelle en font un événement mémorable, où Adrien Dessy a réussi à créer une expérience immersive qui défie les frontières de la perception.

Obscure exposition

Adrien Dessy a exploré la thématique complexe de la nyctophobie, une condition qu’il connaît intimement. L’exposition “Mon Ombre” a offert aux visiteurs une plongée profonde dans l’esprit de l’artiste, confrontant les spectateurs à des images évocatrices et les enveloppant dans un jeu de lumière rouge et noire. Le B9 plongé dans une atmosphère unique, et presque cathartique pour l’artiste !

Les visiteurs ont été invités à se confronter à leurs propres peurs, immergés dans une expérience sensorielle située entre arts visuels et psychologie, résultat d’une recherche approfondie sur la nyctophobie permettant aux visiteurs de mieux comprendre la réalité de la peur du noir, offrant un aperçu intime de l’artiste.

CVG Design Social & Numérique @ Plugin-City (Eindhoven)

Suite au contact établi lors des journées franco-belges en juin 2022, l’idée a émergé d’une rencontre entre les élèves de l’Esad Valenciennes et les étudiantes de Saint-Luc Liège. Cette opportunité s’est concrétisée par un workshop à la Plugin-city de Eindhoven en mobilité courte et hybride, en collaboration avec Corradino Garofalo et Raphaël Coutin.

Corradino Garofalo, designer, se passionne pour les interactions entre les individus et la société, avec des recherches axées sur les contextes géographiques et anthropologiques, adoptant une approche interdisciplinaire du design.

Raphaël Coutin, designer social, collabore fréquemment avec des écoles et des studios créatifs pour explorer le monde du design.

Le workshop avait pour objectif de considérer l’intelligence artificielle comme un collaborateur plutôt qu’un simple outil. Le processus a débuté par une interaction avec l’IA. Le premier exercice consistait à réaliser un safari photo au cœur d’Eindhoven, capturant des infrastructures ou des éléments design reflétant la personnalité de chaque étudiant-e. Après une sélection de photos, les participants devaient générer une image aussi similaire que possible à leur choix initial, explorant ainsi la création d’un texte clair et précis (appelé “prompt”) pour obtenir une image de qualité générée par l’IA.

Le second exercice impliquait la création d’un protocole d’utilisation de l’IA en se basant sur les observations précédentes, visant à déterminer son applicabilité à d’autres sujets. Pour le projet final, chaque élève s’est vu attribuer un thème spécifique (fontaine, paravent, bar, signalétique d’aéroport, miroir…), avec pour objectif de créer un objet en utilisant le protocole établi.

Ce workshop a constitué un véritable défi pour les étudiants, les encourageant à sortir de leur zone de confort, à privilégier l’expérimentation plutôt que la recherche d’un résultat parfait, et à travailler avec les incohérences de l’intelligence artificielle. Ils ont été amenés à utiliser des techniques, des outils, des formats et des supports qu’ils n’avaient que peu ou jamais utilisés.

Les échanges entre les étudiants des deux écoles ont été enrichissants, se déroulant dans une ambiance de travail stimulante. Ce workshop a également favorisé un partage de bonnes pratiques entre les professeurs, notamment avec Léa Barbier, professeur en design social et membre du collectif Faubourg 132.

Création d’une identité visuelle et graphique pour “Les vélo-citoyen.nes de Liège” :

Les étudiants en M1 Design d’identité visuelle CVG de l’ESA Saint-Luc Liège ont récemment travaillé sur la création d’une identité visuelle et graphique pour le collectif “Les vélo-citoyen.nes de Liège“, un projet ambitieux pour un Liège cyclable d’ici 2030. Le collectif, composé de cyclistes liégeois engagés, vise à créer un réseau cyclable continu, sécurisé et dédié, connectant les quartiers, les centres névralgiques tels que les écoles et les entreprises, ainsi que les gares et la périphérie de la ville de Liège.

Le Marathon Créatif de Novembre

Au cours du mois de novembre, les étudiants ont participé à un marathon de 4 cours dédié à la conceptualisation de l’identité visuelle de ce réseau cyclable liégeois. Sous la direction de Cindy Marchal et avec le soutien d’Olivier Debie, designer graphiste et cycliste assidu, ainsi que du collectif porté par Johan Tirtiaux, les étudiants ont abordé le naming du réseau, ont proposé diverses pistes de logos, et ont développé des langages graphiques.

Choix difficile : Vélodium vs REV – Réseau Cyclable Express

Suite à un sondage impliquant 254 votes, deux noms ont émergé en tête : Vélodium et REV – Réseau Cyclable Express. Les étudiants ont alors concentré leurs efforts sur ces deux noms, élaborant des visions graphiques pour un réseau cyclable liégeois citoyen. Le projet entre maintenant dans une phase cruciale où le collectif décidera d’adopter ou non l’une des pistes graphiques proposées. Cette identité deviendra ainsi participative au sein du collectif, permettant de développer les supports de communication nécessaires pour faire vivre ce projet qui mérite toute notre attention ! La cible principale de cette initiative englobe les cyclistes, les acteurs politiques, et le grand public, avec une attention particulière portée sur la future génération de cyclistes.

Le nom Velodium, imaginé par l’une des étudiantes, a séduit malgré son apparente discordance avec l’idée de réseau et de rapidité. Cette appellation résulte de la fusion entre “Vélo” et “Leodium,” l’une des étymologies possibles de Liège signifiant “qui appartient aux hommes libres.” Bien que cette hypothèse demeure historique, la coïncidence des lettres et l’imaginaire qu’elle transporte ont inspiré les étudiants. De manière similaire, l’acronyme REV (rêve) évoque la part d’utopie de ce mouvement cycliste liégeois que l’on espère voir advenir dans la réalité de notre cité ardente !

En somme, ce projet citoyen a non seulement stimulé la créativité des étudiants mais a également donné naissance à des propositions visuelles vibrantes qui, espérons-le, contribueront à un avenir cyclable et dynamique pour la ville de Liège.

Design & magie : de l’art de faire rêver ?

𝗗𝗲𝘀𝗶𝗴𝗻 & 𝗺𝗮𝗴𝗶𝗲 : 𝗹’𝗮𝗿𝘁 𝗱𝗲 𝗳𝗮𝗶𝗿𝗲 𝗿𝗲̂𝘃𝗲𝗿 ?

MARDI 2 MAI 2023 DE 18:00 À 19:30, G103 à l’ESA SAINT-LUC LIEGE

 

On ne présente plus la start-up liégeoise Levita qui, en quelques années à peine, a déployé sa technologie de lévitation d’objets dans les plus grandes mégapoles du monde, opérant tantôt pour l’industrie du luxe à New-York ou Hong Kong, tantôt pour le monde de l’Art avec une installation au Louvre, ou bien en faisant léviter les Tiares de la Famille Royale Anglaise pour la célèbre société de vente aux enchères Sotherby’s.

 

➫ Retrouvez Clément Kerstenne, co-fondateur de Levita, pour un échange inspirant sur un projet créatif et entrepreneurial unique en son genre, au croisement entre magie et onirisme, communication et marketing, scénographie et mise en valeur de savoir-faire.

 

➫ Une approche expérientielle à impact fort…

 

➫ La start-up, 𝗾𝘂𝗶 𝗮 𝗱𝗲́𝗷𝗮̀ 𝗲𝗻𝗴𝗮𝗴𝗲́ 𝗽𝗮𝘀 𝗺𝗼𝗶𝗻𝘀 𝗱𝗲 𝗰𝗶𝗻𝗾 𝗷𝗲𝘂𝗻𝗲𝘀 𝗮𝗹𝘂𝗺𝗻𝗶 𝗲𝗻 𝗗𝗲𝘀𝗶𝗴𝗻 𝗜𝗻𝗱𝘂𝘀𝘁𝗶𝗲𝗹 𝗱𝗲 𝗹’𝗘𝗦𝗔 𝗦𝗮𝗶𝗻𝘁-𝗟𝘂𝗰 𝗟𝗶𝗲̀𝗴𝗲, est régulièrement à la recherche de nouveaux talents. À la suite d’une rencontre ouverte à tout.e.s, son fondateur ainsi qu’une alumni DI – Aude Moutard – seront présents pour lancer un défi de taille aux étudiants de l’ESA Saint-Luc Liège. Plusieurs pistes de collaboration sont envisagées pour ce projet de lévitation d’ampleur…

 

➫ Rendez-vous le 2 mai prochain, 18:00 au G103 – pour une rencontre des plus magiques.

 

Toutes sections bienvenues !

Ciné-Club ESA Saint-Luc : Graphic Means – A History of Graphic Design Production + EXPO

Ciné-Club ESA Saint-Luc @ L’An Vert : Graphic Means – A History of Graphic Design Production + EXPO.

MARDI 18 AVRIL 2023 À l’AN VERT – 18:00 – Event Facebook.

𝟭𝟴𝗵 — 𝗩𝗘𝗥𝗡𝗜𝗦𝗦𝗔𝗚𝗘 :
Exposition (Plus d’infos prochainement)

 

𝟭𝟵𝗵 — 𝗣𝗥𝗢𝗝𝗘𝗖𝗧𝗜𝗢𝗡 :
Graphic Means – A History of Graphic Design Production| 2016 | Documentaire | Briar Levit

 

Synopsis :

 

Cela fait environ 30 ans que l’ordinateur a révolutionné le fonctionnement de l’industrie de la conception graphique. Pendant les décennies précédentes, ce sont les mains de travailleurs assidus, ainsi que diverses machines et outils ingénieux, qui réunissaient les caractères et les images sur des planches de collage méticuleusement préparées, avant envoi à l’impression.

 

Graphic Means explore la production graphique des années 1950 aux années 1990, du linecaster à la photocomposition, et du collage au PDF.

 

DANS MA RUE EN OUTREMEUSE : Workshop CVG

DANS MA RUE EN OUTREMEUSE : Workshop CVG

Durant la dernière semaine de cours précédant les vacances d’hiver, les étudiants bac1 Communication visuelle et graphique – Saint-Luc Liège participaient à un workshop intitulé “Dans ma rue – en Outremeuse”, avec pour objectif la mise en pratique de nouveaux acquis (gestion des formes, travail collaboratif, expérimentation, gestion de l’espace 3D, …).

Après avoir constitué les groupes, puis réalisé un tirage au sort d’une rue d’OutreMeuse, les étudiants étaient invités à récolter des visuels sous la forme de photos, dessins, empreintes, objets (habitants, enseignes, panneaux de signalisation, éléments architecturaux, mobilier urbain…).

 

 

A partir de ces éléments hétéroclites, l’exercice visait à créer un collage dynamique prenant la forme d’une structure en trois dimensions. Avec une contrainte chromatique (noir, blanc, rose fluorescent), matérielle (carton), et l’exigence de travailler sur un élément typographique à partir du mot “Outremeuse”. Plus précisément, le workshop était structuré en 8 étapes :

  • ÉTAPE 1 – Mardi 10.00 –12.30-Récolte de visuels sous la forme de photos, dessins, empreintes, objets (habitants, enseignes, panneaux de signalisation,-éléments architecturaux, mobilier urbain…)Matériel : woodynoir, feuilles machine en suffisance, smartphone ou appareil photo, bloc argile, feutres noir, sachet ou boite (si récolte 3D),scalpel, ciseaux…
  • ÉTAPE 2 – Mardi 13.30 –14.30-Références culturelles sur Outremeuse(Alexia Creusenlocal A125) Mardi 14.30 –16.30 -Créer un collage dynamique (structure en 3 dimensions) taille à définir-Sélectionner et constituer une bibliothèque de trames et d’images avec les visuels récoltés (trames numériques ou manuelles à partir d’un dessin)-Code couleur : noir, blanc, fluo rose et carton-Organiser le travail du lendemain (matériel, photocopies…)
  • ÉTAPE 3 Mercredi 8.15 –10.00 Tracer une typographie manuelle pour le mot Outremeuseet le nom de votre rue (format à libre)Utiliser différents outils et médiums : encre de Chine, acrylique, pinceaux, marqueurs…
  • ÉTAPE 4 Mercredi 10.00 –16.30-Création de visuels pour «habiller» le collage dynamique (travail en classe ou à la galerie)
  • ÉTAPE 5 Jeudi 8.15 –12.30-Finalisation des supports visuelsÉTAPE 6Jeudi 13.30 –16.30-Installation scénographique à la galerie
  • ÉTAPE 7-Création de six cartes postales à partir de photographies (cadrées) de votre installation ou de visuels créés-format A5 impression en niveaux de gris sur un support de votre choix minimum 220g/m2et ajout par-dessus d’un élément fluo (dessin au Poska, pochoir…)
  • ÉTAPE 8 Vendredi 8.15 –10.30-Finalisation de l’installationÉTAPE 9Vendredi 10.30 –12.30-Drink de Noël et mini porte ouverte de l’expo

Retrouvez, au travers de ces quelques images, les installations des étudiants lors du vernissage du 23/12 dernier, à l’occasion du drink de Noël 2022 !

 

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